C'est au sein de l'Assemblée nationale que le nouveau gouvernement a été investi lors d'une plénière organisée ce mardi 11 juin 2024, dirigé par le président de la chambre basse du Parlement Vital Kamerhe, que la Première ministre Judith Suminwa Tuluka a décortiqué les points de son programme durant ses 5 prochaines années à la tête de la Primature.
Ce mardi 10 juin 2024, au sein de l’Assemblée nationale où se déroulait la cérémonie d'investiture du gouvernement Suminwa, que plusieurs partis politiques, militants, tant de la majorité que de l'opposition, ont envahi cet hémicycle afin de soutenir leurs autorités morales.
Il aura peut-être suffit ce tollé général de la population, particulièrement des fidèles de Vodacom-RDC sur les réseaux sociaux face à ses retranchements exorbitants des frais d'envoi et de retrait M-PESA pour que ça change.
Douze jours après son dévoilement, le gouvernement Judith Suminwa vient d'être investi officiellement. C'était au cours d’une plénière inaugurale de ce mardi 11 juin 2024 par les élus nationaux.
Le rapporteur du Bureau provisoire du Sénat, Ivan Kazadi a présidé, ce lundi 10 juin 2024, la réunion de la commission spéciale chargée de l'élaboration du règlement intérieur, une rencontre qui a débouché à la mise en place du bureau de cette commission.
Depuis son avènement à la tête de grand ministère de 2019 jusqu'à nos jours, Timothée TSHITE LUKOMBE fait preuve d'une bonne gestion des recettes de la province. un ministre qui a convaincu toute la population Lomamienne qui décrié autres fois la mauvaise gestion des recettes publiques. Puisqu'il a été un bon gestionnaire, il est le seul ministre provincial qui a travaillé tous les cinq ans du mandat passé, donc du gouverneur LUBAMBA MAYOMBO jusqu'à Nathan Ilunga Numbi devenu aujourd'hui député national.
Face à cette nouvelle attaque meurtrière des rebelles d'Allied démocratic forces (ADF) en territoire de Beni, province du Nord-Kivu, le président du parti ECiDé, Martin Fayulu, n'a pas mâcher les mots pour indexer le régime Tshisekedi ‘’ d'impuissance et irresponsable ‘’.
Le paludisme reste la première cause de morbidité, de mortalité et d’hospitalisation en République démocratique du Congo, mais surtout pour les enfants de 0 à 5 ans ainsi que les femmes enceintes. Depuis quelques années, la RDC figure sur la tête d’affiche des pays les plus palustres. Elle est deuxième en Afrique et troisième au monde après l’Inde et le Nigeria.
Les rebelles d'Allied democratic forces (ADF) soutenus par l'armée Rwandaise, ont signé une nouvelle attaque dans le territoire de Beni, en province du Nord-Kivu, coûtant la vie à plus de 40 civils, le 7 juin dernier.