Le directeur général de l’Officedes Routes, Jeanneau Kikangala Ngoy, a été récemment la cible de plusieurs fausses accusations sur sa gestion qualifiés « calamiteuse » par des personnes mals intensionnees.
Alors que, ses détracteurs usent des réseaux sociaux pour déranger son image, le numéro un de cet l’entreprise continue à travailler d’arrache-pied afin de placer l’Office des Routes sur la bonne voie et l’assurer un avenir prodigieux.
Depuis sa prise de pouvoir à la tête de cette entreprise publique, Jeanneau Kikangala Ngoy, n’a jamais été visé par un quelconque soupçon de détournement, soit des anti-valeurs, grâce à sa détermination et son travail accompli avec rigueur et motivation.
Dans un article publié par un autre media, des informations sont purement qualifiées fausses et sans être confronté aux sources concordantes, ont régné au sein du grand public avec idée d’un sentiment de doute sur la
gestion du projet de réhabilitation de la route Mbuyi-Mayi–Kananga par
l’Office des Routes.
« Route Mbuji- Mayi – Kananga, un échec
programmé par le tandem Gisaro- Kikangala », un titre plutôt centré sur des spéculations et qui vise à ternir la personne de Jeanneau Kikangala, pour satisfaire la personne annonyme derrière cette publication provocatrice.
Pour démentir cette information, il
est important de noter que ce n’est pas l’OR qui est maître d’ouvrage délégué du projet de cette route d’envergure nationale, mais c’est bien le Fonds de
Promotion de l’Industrie qui en est à la fois le bailleur de fonds.
Par ailleurs, depuis le lancement officiel de ce projet, aucun financement n’a été reçu par l’Office des Routes ni par son Directeur général, Jeanneau Kikangala, pour cette artère. La
suspension des travaux est due au blocage du paiement par l’Inspection Générale des Finances (IGF), qui a demandé des explications et a ordonné la suspension du paiement de 27 million dollars, qui avait été autorisé par le FPI pour la société Samcrete, une entreprise égyptienne spécialisée dans les infrastructures routières et qui exécute ce projet.
Alors que certains s’investissent dans la reconstruction de leur pays, d’autres
banalisent les actes de mépris envers des hommes dont l’intégrité et la
rigueur sont des principes sacrés.
Il est indéniable que Jeanneau Kikangala, en tant que leader éclairé, est peut-être sous le feu des critiques, car en un laps de temps remarquable, son
entreprise, dont il est le dirigeant, a considérablement amélioré des nombreuses routes d’importance nationale et provinciale sans oublier le
nombre de ponts remis à l’État dans le cadre du contrat avec Matière S.A « à travers la République » et avec l’UNOPS « dans l’espace Grand Equateur ».
En somme, il est regrettable de constater que la quête d’une presse libre et
indépendante reste un défi en République démocratique du Congo, où
l’éthique et la déontologie sont souvent compromises au profit des billets
verts.
Jules Ntambwe