C’est une pure campagne de diabolisation qui s’observe, depuis quelques jours, par une certaine engeance de personnes à la malveillance assumée, se répandait en chantages de toutes sortes, annonçant un séisme médiatique de grande envergure dont l’onde de choc aurait vocation à emporter à coup sûr le leadership avant-gardiste de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale des Agents Public (CNSSAP) de l’État. Il n’en est finalement rien au regard des grossièretés qui émaillent de ladite saillie médiatique, manifestement conçue par des apprentis sorciers très peu inspirés.
De par sa forme tout comme dans son fond, cette campagne de diabolisation mal assortie éveille aussitôt le soupçon quant à son intention pernicieuse de vouer aux gémonies une coqueluche de l’UDPS à l’avenir prometteur.
Mise en scène grotesque
C’est dans une lettre anonyme, dégoulinant de haine et de jalousie mal placée contre le DG de la CNSSAP, que certains esprits retors ont cru bon dissimuler leur volée de bois vert. Durant un week-end paisible qui se terminait pourtant sur une note de satisfecit de la Tutelle de la CNSSAP, à l’issue d’une réunion d’évaluation au sommet des performances affichées et admises comme telles par tous. Et, c’est au cours d’une année 2023 de tous les enjeux, que les apôtres de la contrefaçon étaient eux plutôt occupés à distribuer aux tabloïds de la place un tract prétendument signé par un imaginaire cadre de l’UDPS. Une méthode PPRDIENNE bien connue de « hôte toi de là que je m’y mette » émanant de certains ouvriers de la onzième heure bien connus, alléchés, comme chacun le sait, par le pouvoir de l’UDPS, alors qu’ils ont fait toutes leurs classes dans les parvis des dictatures qui persécutaient à longueur des journées les ouailles du Docteur Étienne TSHISEKEDI, d’heureuse mémoire, pendant les années difficiles de lutte pacifique pour la conquête du pouvoir. On reconnaît facilement ces assoiffés du pouvoir par leur hargne à combattre les vrais fils et filles de l’UDPS qui se distinguent dans leur assiduité aux côtés de leur mentor, Félix-Antoine Antoine TSHISEKEDI Tshilombo .
Junior MATA, qui est formaté à l’UDPS, ne pouvait qu’être la cible des esprits chagrins, qui pensent pouvoir faire oublier leur passé politique en affichant un militantisme factice et tiré par les cheveux au parti présidentiel.
Pour mémoire, à peine le DG Junior MATA venait-il d’être placé aux commandes de la CNSSAP que ceux qui se prennent pour des »Stephane Hessel » de la sécurité sociale s’agitaient déjà comme des diables dans un bénitier. C’était sans compter sur les compétences indéniablement satisfaisantes de ce champion de la bonne gouvernance, nourri à la mamelle idéologique du »peuple d’abord » depuis sa prime enfance, au cursus académique et professionnel à faire pâlir d’envie malgré son fontaine de jouvence irrésistible qu’est son UDPS chérie.
Des griefs cousus de fil blanc !
Ce qui énerve le plus les détracteurs du DG de la CNSSAP, c’est surtout l’application intelligente et sans ménagement des orientations du dynamique et sourcilleux Vice-premier Ministre Ministre de la Fonction Publique, Modernisation de l’Administration et Innovation du Service Public, le cerveau d’État, Son Excellence Jean-Pierre LIHAU EBUA , ayant réussi à mettre tout le monde d’accord par rapport à ses impressionnantes capacités manageriales. D’aucuns espéraient, certes, qu’il puisse rapidement trébucher en glissant sur les peaux de bananes qu’ils avaient cyniquement placées sur son chemin. Mal leur en a pris.
N’ayant au final rien d’objectif à reprocher à ce vaillant disciple du tshisekedisme pur et dur, ils se sont fébrilement épanchés, avec l’énergie du désespoir, sur les médias mainstream en enfourchant la manipulation de l’opinion, non sans noyer la réputation d’un innocent dans les miasmes nauséeux de la médisance et de la haine gratuite.
En effet, tous ceux qui connaissent la CNSSAP savent que ce jeune établissement public est un coffre fort fortifié, et surtout qu’il est impensable d’envisager un seul instant qu’un individu, Directeur Général fût-il, puisse s’arroger le toupet de le dévaliser. Dans le logiciel de la CNSSAP, tout a été conçu pour que l’épargne des Agents de carrière des services publics de l’État soit à l’abri de la moindre tentative de détournement. Ce n’est donc pas un hasard si cet établissemnent public évoluant sous la Tutelle du Ministère de la Fonction publique, dont les syndicats de l’administration publique siègent par ailleurs au Conseil d’administration, conserve toujours sa certification ISO 9001 sous la dispensation du duo MATA-TUNGILA .
Pour votre gouverne, la gestion de la CNSSAP est soumise à des mécanismes internes et externes de contrôle et d’audit d’une rigueur éprouvée. Au surplus, la CNSSAP se soumet volontiers à plusieurs autres audits externes à une cadence telle qu’il est impossible de faire main basse sur les placements des fonctionnaires de l’État. À cela s’ajoute la vigilance tous azimuts de l’Inspection Générale des Finances (IGF) sous la férule de l’inamovible Inspeteur Général des Finances, chef de service, Jules ALINGETI KEY . Autant de soupapes de sécurité qui consolident la confiance dans le leadership de la CNSSAP dont les voyants demeurent au vert.
Des professionnels des médias stipendiés et menés en bateau
De ce qui précède, c’est à se demander comment des professionnels de médias à la réputation jusque là intangible pouvaient ainsi se laisser aller pour relayer un tract à charge ne portant de surcroît aucune signature ? L’argent dépensé par les tireurs de ficelles y est sans doute pour quelque chose. Mais est-ce pour autant qu’il faille jeter aux orties la déontologie en sacrifiant ainsi l’orthodoxie professionnelle sur l’autel de l’ignominie ? Car il n’est de toute évidence pas dans l’ordre du possible que les médias qui s’emploient à relayer de manière inconsidérée la lettre anonyme sous examen aient perdu de vue que l’UDPS est le parti politique le plus organisé du landerneau politique congolais, qui s’est toujours exprimé à travers ses organes statutaires. Il n’existe pas à l’UDPS des cadres non autrement identifiés s’exprimant sous le sceau abjecte de l’anonymat. Il est du reste de notoriété publique que la liberté d’expression fait partie de l’ADN des combattants de l’UDPS qui n’hésitent pas à évoquer y compris les sujets qui fâchent, toujours à visage découvert. Cette méthode sournoise et pleine de lâcheté consistant à casser du sucre sur le dos d’un compatriote par le biais des tracts n’a rien à voir avec les habitudes du parti du Docteur Étienne TSHISEKEDI wa Mulumba . Il y a donc lieu de ne pas perdre son temps avec des coups d’épée dans l’eau qui ne peuvent se terminer qu’en eau de boudin.
La Rédaction