Ils étaient une bonne dizaine hier, mercredi 3 janvier 2024, à affluer le seuil de la porte d’entrée du quartier général de la commission électorale nationale indépendante. Ce sont les agents temporaires et les techniciens des bureaux de vote qui, après le travail accompli, réclament auprès des autorités de la centrale électorale, leur paie comme prévu.
Déjà au départ, la commission électorale nationale indépendante s’est plainte, bien avant les élections du 20 décembre 2023, de l’insuffisance du financement pour un bon déroulement des opérations de vote sur toute l’étendue de la République. Cet argent que le Gouvernement était tenu de payer était destiné à la paie des agents de la CENI, au transport même des matériels de vote,…
Ce, même si, elle ( CENI) avouait avoir reçu plus d’un milliard de dollars américains.
Patrice Lumumba