Dorénavant, c’est Gisèle Kapinga Ntumba, vice-présidente de la Commission nationale des droits de l’homme ( CNDH). Ceci, après la déchéance de Paul Nsapu pour manquement grave à ses fonctions de président de la CNDH.
Telle est l’une des résolutions de l’Assemblée générale organisée au siège de la Commission nationale des droits de l’homme ( CNDH) vendredi 1er septembre.
Lors de ses assises, le président de la séance a rappelé que, conformément aux articles 60, 64, 66 et 193 du règlement intérieur, aux articles 8, 9, 11 de la loi organique n°13/011 du 21 mars 2013, le bureau est composé de 4 membres élus par l’Assemblée générale.
D’après certaines sources à la Commission nationale des droits de l’homme, l’élection de Gisèle Kapinga met fin à la crise qui régnait dans cette institution.
La Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) est un organisme technique et consultatif chargé de la promotion et de la protection des droits de l’homme. Elle veille au respect des droits de l’homme et des mécanismes de garantie des libertés fondamentales.
Elle a pour mission d’enquêter sur tous les cas de violations des droits de l’homme; orienter les plaignants et victimes et les aider à ester en justice sur toutes les violations avérées des droits de l’homme, mais aussi, procéder à des visites périodiques des centres pénitentiaires et de détention sur toute l’étendue de la RDC.
Tiré de dépêche.cd, titre de tremplin-news.net