L’habillement constitue un moyen rapide dans lequel se fonde un jugement sur une personne et cela peut être positif ou négatif. Face à ces défis, la rédaction de tremplin-news.net a exécuté une descente dans divers milieux de la ville,surtout dans un environnement estudiantin,question d’observer et d’analyser cette façon de communiquer.
S’agissant des milieux estudiantins, la ville peine à redorer son image d’autant qui lui a valu le vrai sens de l’habillement africain,pire encore ceci ne cadre pas avec le milieu qui est considéré comme un alma mater en éducation sur tous les plans.
La majorité des étudiants généralement les filles vêtues à la mode, elles portent les collants, mini-jupe, pantalon appelé communément » kata Fumbwa », etc. Selon elles, ceci est un moyen de se faire valoir de façon délicate pour plaire surtout aux personnes de sexe opposé.
Les jeunes hommes à leurs tours se plongent à s’habiller en pantalon « taille basse », montrant leur parties intimes, des culottes, des chemises non- boutonnées jusqu’au coup,laissant la poitrine à l’extérieur, etc.
Dans l’ensemble, l’habillement a perdu sa valeur fondamentale au détriment de sa valeur de signe décent, les habits ne servent plus seulement à couvrir le corps mais aussi à émettre le contenu d’une intention à exprimer et valoriser l’identité de celui qui se met car l’habillement joue un rôle social,éducatif, culturel et tant d’autres.
Il sied de noter qu’un bon habillement fournit des sujets de conversation, en effet, toutes personnes sont appelées à s’y mettre dans des lignes de conduite d’un habilement a un aspect positif sans pour autant être cataloguée.
La Rédaction