Assez! La politisation et les jérémiades autour de l’affaire GLM dont il est noir sur blanc clair qu’il s’agit bien de faire prévaloir l’État de droit dans un pays démocratique, doivent cesser. Ces avertissements très francs sont d’Exodus Lukombo, cadre du collectif des communicateurs et défenseurs des institutions/UDPS à l’endroit de ceux là qui passent leur temps à longueur de la journée à vouloir faire de cette affaire, une récupération politique.
Il est de bon aloi, à l’avis de Mme Exodus Lukombo, que les autorités du pays, éprises de l’État de droit, refassent l’ordre qui a été bouleversé pendant plus de 18 ans.
Pour elle, Kabila Joseph subit les conséquences de sa gestion calamiteuse de la chose publique, et ses velléités de rendre le Congo sa propriété privée.
Loin s’en faut, dit-elle, l’idée d’un quelconque rendement des comptes. Mais, ajoute-t-elle, la rigidité de la loi, n’empêche pas à la justice de la faire exécuter à l’égard de tout citoyen, qui qu’il soit.
Si donc, dit-elle, l’ancien président de la République, que d’aucuns n’ignorent les circonstances peu catholiques qui ont facilité l’acquisition de cette concession est tenu justiciable et reproché pour cette affaire alors bien connue surtout par l’actuelle justice, dont l’état de droit est le crédo et le galvanomètre, il n’y a aucun problème ni à amplifier, ni à craindre.
« Pourquoi donc autant de peur si un ancien militaire et maintenant sénateur à vie doit être recadré au vu de ses méandres commis dans le passé ? Le ciel tombera-t-il ?», se demande Exodus Lukombo, qui fustige un comportement de victimisation de la part du FCC.
D’ailleurs, elle considère que l’ancien président de la République a eu de la chance, parce que la justice a dû relativiser.
La Rédaction