Lors de la 3ème édition du Débat Africain de l’Intelligence Économique (DAIE), Patrick Onoya, lobbyiste et stratège en investissement, a plaidé pour la mise en place d'un Service de l’Information Stratégique et de la Sécurité Économique en République Démocratique du Congo (RDC). Son intervention a souligné l'importance de protéger les secteurs stratégiques du pays et de favoriser le développement des filières locales.
Dans le but de réduire la mortalité maternelle et infantile causée par les grossesses non désirées en République Démocratique du Congo, MSI-RDC a lancé, le 1er novembre 2024, le projet "Essai Contrôlé Randomisé (ECR)" à Lubumbashi, dans la salle Bukavu de l’hôtel Karavia. Ce projet est réalisé en partenariat avec le Programme National de Santé de la Reproduction (PNSR). Selon Dr. Patrick Djemo, Représentant-pays de MSI-RDC, l'initiative vise à promouvoir la planification familiale, permettant ainsi aux femmes d’avoir des enfants par choix et non par hasard.
Le paludisme reste la première cause de morbidité, de mortalité et d’hospitalisation en République démocratique du Congo, mais surtout pour les enfants de 0 à 5 ans ainsi que les femmes enceintes. Depuis quelques années, la RDC figure sur la tête d’affiche des pays les plus palustres. Elle est deuxième en Afrique et troisième au monde après l’Inde et le Nigeria.
Une constitution bien conçue est une composante essentielle de la stratégie de développement économique d'une nation. Les constitutions peuvent poser les bases de politiques économiques judicieuses en définissant les principes qui guident les politiques fiscales et monétaires.
Le système de contrôle interne des ressources humaines de la CNSSAP est bien satisfaisant. L'IGF a, après contrôle de conformité, validé la paie des mois d'avril et mai 2024 de tous les agents dans leur statut actuel et ce, sans exception.
La nouvelle première ministre Judith Suminwa Tuluka obligée de démissionner. Deux mois après sa nomination sans gouvernement mis en place, l'ancienne ministre du plan est sommée par Lamuka de Fayulu de démissionner “pour sauver la République”.