Selon certaines sources, le ministre Constant Mutamba n’a pas été empoisonné. D’après ces informations, les options qu’il avait levées pour les magistrats, ainsi que d’autres histoires qu’il avait soulevées, pourraient atteindre Félix Tshisekedi et potentiellement le faire tomber.
Pour enterrer cette affaire et ses démarches, il aurait été jugé bon d’annoncer que le ministre avait été empoisonné. Environ dix autres membres de son cabinet auraient également été touchés par le même poison. Toutefois, une question se pose : pourquoi Mutamba est-il le seul à avoir quitté le pays ?
Alors que les autres membres de son cabinet se trouvent toujours à Kinshasa, lui a été évacué vers Cuba. Cela soulève des suspicions quant à la véracité de l’empoisonnement. Il semblerait que cette situation ne soit qu’un stratagème pour enterrer ses démarches et protéger le président de la République.
Constant Mutamba semble être sur un chemin de non-retour s’il continue avec ses initiatives. À son retour, prévu dans un délai de un à trois mois après son séjour à Cuba, un deal pourrait être proposé : « Ne touche pas à ceux qui pourraient me faire tomber, et je te fais mon dauphin en 2028. »
C’est dire qu’à l’allure où va le ministre de la Justice et garde des Sceaux, le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a déjà son Dauphin qui incarne sa vision qui est de redresser la justice congolaise.
Cette situation délicate met en lumière les enjeux politiques complexes au sein du gouvernement et soulève des questions sur la transparence et l’intégrité des décisions prises. Les prochains développements seront à suivre de près, alors que le climat politique en République Démocratique du Congo continue d’évoluer.
La Rédaction