Les accusations portées contre Mr Roland MUNDURAME, Administrateur Gestionnaire du Nouveau Bâtiment Administratif de Kinshasa/Lingwala, sont infondées. En effet, le rôle de cet administrateur est clairement défini par les textes en vigueur, et il s’acquitte de ses missions avec sérieux et dévouement. Les tentatives de certains cadres et agents du secrétariat général de l’ancien ministère des Relations avec le Parlement de le discréditer sont malhonnêtes et injustifiées.
L’administrateur gestionnaire du Nouveau Bâtiment Administratif, Mr Roland MUNDURAME, dans sa gestion du bâtiment, a toujours respecté les règles en place et veillé à ce que les locaux soient entretenus et utilisés de manière appropriée. Les allégations de “menace, manigances, compromission et légèreté” telles que évoquées par les agents et cadres du secrétariat au Ministère des Relations avec le Parlement ne reposent sur aucune base factuelle et visent uniquement à ternir sa réputation.
Il est clair que le gestionnaire du Nouveau Bâtiment Administratif, Mr Roland MUNDURAME, n’a commis aucune faute dans l’exercice de ses fonctions. Les critiques à son encontre sont infondées et ne reposent sur aucune preuve tangible. Il continue de veiller à la bonne gestion et à l’entretien de ce bâtiment public avec professionnalisme et dévouement.
Est-il que, selon le cabinet de du gestionnaire du Bâtiment, le local tant vanté par les agents et cadres des Relations avec le Parlement, était plutôt affecté au cabinet du Ministre et non aux services de l’administration du secrétariat général, et que l’entretien, le nettoyage et la sécurisation dudit local entrent dans la mission dévolue au service du gestionnaire du Nouveau Bâtiment Administratif que dirige monsieur Roland MUNDURAME, comme administrateur gestionnaire, et ne peuvent en aucun cas être considérés comme des actes de « menaces, manigances compromission et de légèreté» dans la gestion de ce bâtiment public de l’État, comme il a été raconté faussement dernièrement dans un article de presse.
Fidel Songo
DROIT DE RÉPONSE SUR LES ACCUSATIONS PORTÉES PAR LES AGENTS ET CADRES DU SECRÉTARIAT GENERAL AUX RELATIONS AVEC LE PARLEMENT CONTRE MONSIEUR ROLAND MUNDURAME, L’ADMINISTRATEUR GESTIONNAIRE DU NOUVEAU BÂTIMENT ADMINISTRATIF
Le nouveau Bâtiment Administratif du site ex Tembe na Tembe à Kinshasa/ Lingwala, don de la République populaire de Chine à la RDC, est géré par un administrateur gestionnaire, nommé par le Ministre des Infrastructures et Travaux Publics qui a pour mission :
- -Assurer la gestion, la maintenance et l’entretien du Nouveau Bâtiment Administratif ;
-Garantir la maintenance des équipements dudit bâtiment en bon état de fonctionnement ;
-Veiller à l’entretien, le nettoyage des locaux et des espaces extérieurs ainsi que la surveillance de l’enceinte de ce bâtiment.
Cependant, il sied de noter que l’affectation des locaux aux services publics de l’État désirés les occuper ou leur désaffectation, relèvent de la compétence du Ministre des Infrastructures et Travaux Publics, qui prend un arrêté à ce titre, et ce, partant du point 14 de l’ordonnance N°22/003 du 7 janvier 2022 fixant les attributions des ministères en RDC.
Ainsi, une fois affecté, en sa qualité d’administrateur Gestionnaire de ce bâtiment qui continue de faire la fierté du pays en gardant sa belle robe qui attire l’admiration du public, Monsieur Roland MUNDURAME ne ménage aucun effort pour veiller, grâce à sa politique managériale et sa gestion exceptionnelle, à l’entretien, au nettoyage ainsi qu’au bon usage par le service qui l’occupe. Ce, y compris le local affecté pour le cabinet de la ministre des Relations avec le Parlement, ministère qui, faut-il le souligner, étant supprimé, n’existe plus depuis la sortie du nouveau gouvernement le 29 mai dernier, ce qui justifiait la présence des agents et cadres de son service dans le local affecté au Ministre des Relations avec Parlement.
Néanmoins, c’est plutôt à tort, que les cadres et agents du secrétariat général de l’ancien ministère des Relations avec le Parlement se disent menacés et accusent sans fondement le gestionnaire de cet édifice de l’État de « manigances, compromission et légèreté» dans la gestion du Nouveau Bâtiment Administratif, faisant de monsieur Roland MUNDURAME leur bouc émissaire, alors que dans sa gestion, il ne s’est jamais écarté des attributions lui dévolues par l’arrêté ministériel N° CAB VPM-ITP/WNS/001/2021 du 8 janvier 2021 portant règlement intérieur du Nouveau Bâtiment Administratif, encore que l’affectation des locaux ne s’inscrit pas dans la mission du service du Nouveau Bâtiment Administratif.
Toutefois, les Relations avec le Parlement, quand bien même ayant cessé d’exister comme Ministère en RDC, du fait de l’ordonnance présidentielle n° 24/039 du 28 mai 2024, ses services constituent malgré tout d’occuper paisiblement le local qui abrite leurs différents bureaux au Nouveau Bâtiment Administratif, mais les actes rentrant dans la mission du service du Nouveau Bâtiment Administratif où de trouve ledit local ne devraient pas susciter des illusions de la part des agents et cadres de l’administration du secrétariat général de ce ministère de triste mémoire, qui les déduits prétendument comme «des menaces, manigances, compromission et légèreté » dans le chef de son administrateur gestionnaire, Monsieur Roland MUNDURAME, comme il est évoqué démesurément dans un article de presse commandé par les services du secrétariat général des Relations avec le Parlement. Ces propos relèvent tout simplement du chantage inutile de nature à ternir aussi l’image de la République, car juridiquement, ces cadres et agents du secrétariat des Relations avec le Parlement, ne peuvent plus se prévaloir d’un quelconque droit au nom d’un ministère qui n’existe plus pour squatter un bien public de l’État, car, En outre, chaque Etat étant libre de déterminer le nombre de ministères qui doit composer son gouvernement, les agents et cadres du secrétariat général des relations avec le parlement devraient cesser de pleurnicher sur une prétendue élimination de leur ministère par Son Excellence Monsieur le Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Initiateur de l’État de droit en RDC, qui, en vertu du principe de parallélisme de forme et de compétence, a décidé autrement, pour l’intérêt général, sur le sort du ministère des Relations avec le Parlement, par ordonnance n°24/039 du 28 mai 2024.
De ce qui précède, il y a lieu de conclure à l’immaturisme, à la confusion et à l’ignorance du secrétariat général des Relations avec le Parlement, d’autant plus que le local tant vanté par ses agents et cadres, était plutôt affecté au cabinet du Ministre et non aux services de l’administration du secrétariat général et que l’entretien, le nettoyage et la sécurisation dudit local entrent dans la mission dévolue au service gestionnaire du Nouveau Bâtiment Administratif que dirige monsieur Roland MUNDURAME, comme administrateur gestionnaire, et ne peuvent en aucun cas être considérés comme des actes de « menaces, manigances compromission et de légèreté» dans la gestion de ce bâtiment public de l’État, comme il a été raconté faussement dernièrement dans un article de presse, car le Ministre de Infrastructures et Travaux Publics reste le gestionnaire régalien et gardien par excellence des immeubles du domaine public de l’État.