C’est depuis un certain temps que les ennemis de la République Démocratique du Congo se sont décidé de déstabiliser l’institution de l’État en charge de la promotion et de la protection des droits de l’homme qui est la Commission Nationale des Droits de l’Homme, CNDH en sigle. Pour y parvenir, ces mal intentionnés ont utilisé quelques Commissaires de cette Institution qui auraient touché des billets verts pour s’attaquer contre leur Président Paul NSAPU MUKULU qu’ils prétendent avoir destitué, selon certaines sources.
Chose grave, les observateurs avertis pointent du doigt la Ministre de la justice, Madame Rose MUTOMBO, comme étant l’un des instigateurs et tireurs de ficelles.
À en croire les mêmes sources, la ministre de la justice aurait adressé, sans hésiter, une correspondance à l’une des commissaires frondeurs en qualité de la Présidente de la CNDH alors qu’il n’en est pas le cas.
La ministre identifiée comme membre de l’Association dénommée CAFCO se serait engagée dans une logique de soutenir aveuglément l’une des commissaires frondeurs issue de la même organisation que lui, apprend-on.
Les sources crédibles affirment que “la Ministre de la justice connue et expérimentée dans ces habitudes des coups bas aurait activé toutes les machines voir même en voulant instrumentaliser la justice pour voir Paul NSAPU quitter la tête de la CNDH, ce qui est une illusion”.
À quelques jours de la tenue des élections, il est d’une importance capitale que cette institution de l’Etat recouvre son bon fonctionnement pour accompagner ce processus. Malheureusement, il se révèle selon les témoins que même le compte bancaire de cette institution est bloqué dans une cacophonie créée de toute pièce.
À ce stade, par ailleurs, seul l’arbitrage du Président de la République, chef de l’Etat et garant du bon fonctionnement des institutions serait d’une importance capitale pour sauver cette institution qui risque d’être transformée en instrument contre la République par les ennemis de la paix et du progrès en cours.
La Rédaction