Depuis que le Sankuru est devenu une province à part entière, il n’a été dirigé que par des hommes. Mais tous, sans exception, n’ont jamais pu aller jusqu’au bout de leur mandat. Toujours des divisions, des querelles internes, et surtout un manque de résultats concrets. Le peuple sankurois est fatigué de ces expériences décevantes. Il a besoin d’un nouveau souffle, d’un autre regard, d’une autre approche. Et si cette fois, la solution venait d’une femme ?
Mado Ndowa se présente aujourd’hui comme cette voix différente, cette présence rassurante dont le Sankuru a tant besoin. Elle n’est pas une nouvelle venue. En 2015 déjà, elle a servi comme ministre provincial en charge de l’Économie, sous la gouvernance de Berthold Olongo. C’était à l’époque du système des commissariats. Elle connaît les rouages de l’administration, les défis économiques de la province, mais surtout, elle connaît les réalités vécues par la population. Elle n’a jamais cessé de garder le Sankuru dans son cœur.
« J’ai été ministre provincial en charge de l’Économie en 2015, sous le gouverneur Berthold Olongo. Je connais parfaitement les problèmes de la province du Sankuru ainsi que les réalités vécues par sa population », confie-t-elle avec calme mais fermeté. Dans sa voix, on perçoit l’engagement sincère d’une femme qui n’a pas besoin de discours pompeux pour convaincre, mais de faits.
Aujourd’hui, après la déchéance du gouverneur Victor Kitenge, qui a démontré ses limites, un vide s’est installé. Et c’est l’occasion de faire un choix de raison, un choix de progrès. Mado Ngowa ne vient pas pour diviser, encore moins pour dominer. Elle vient avec l’envie profonde de servir, avec les compétences qu’elle a acquises, avec la lucidité d’une femme qui sait d’où elle vient et où elle veut aller. Le Sankuru ne peut pas rater ce tournant.
Les élus provinciaux appelés, cette fois-ci, à la clairvoyance !
Aux députés provinciaux, à ceux qui tiennent entre leurs mains le destin de notre chère province, un appel est lancé. Il est temps de faire preuve de courage, de responsabilité et de bon sens. Le peuple attend plus qu’un nom. Il attend une vision, une action, un engagement. Et tout cela, Mado Ndowa l’incarne parfaitement.
Elle ne veut pas le pouvoir pour le pouvoir. Elle veut se mettre au service de tous, sans exclusion. Son rêve est de voir le Sankuru debout, respecté, et tourné vers un avenir meilleur. Et ce rêve, elle est prête à le porter avec vous, pour vous.
Le Sankuru a essayé avec des hommes. Et si cette fois, on essayait avec une femme ? Pas n’importe laquelle. Une femme d’expérience, de cœur et de conviction. Une femme comme Mado Ndowa.
Fidel Songo
