Dans un élan de soutien à la vision éducative du Président Félix-Antoine Tshisekedi, l’Asbl G-ABS, sous l’initiative du Ministre d’État Aimé Boji Sangara, a inauguré ce lundi 12 janvier 2025, une nouvelle école moderne dans le territoire de Walungu. Cette initiative marque la quatrième école construite en seulement quatre ans, témoignant de l’engagement indéfectible d’Aimé Boji pour l’éducation des jeunes du Sud-Kivu.
L’Institut Iraga, une école conventionnée protestante, a été inauguré lors d’une cérémonie officielle présidée par l’élu de walungu, Aimé Boji Sangara. Situé dans le groupement de Kamisimbi, cet établissement répond à un besoin urgent d’infrastructures éducatives modernes dans cette contrée de la République démocratique du Congo.
« Aujourd’hui, nous célébrons non seulement l’inauguration d’un bâtiment, mais aussi l’espoir d’une éducation de qualité pour nos enfants », a déclaré Aimé Boji lors de son discours. L’Institut Iraga vient remplacer une ancienne structure en planches, souvent menacée d’effondrement, par des salles de classe adaptées aux normes modernes, un bureau pour la direction et une salle pour les enseignants.
Avec cette nouvelle école, Aimé Boji a également exprimé son engagement envers l’intégration des technologies numériques dans l’éducation. Les élèves, en quête de matériels didactiques tels que des ordinateurs, ont reçu la promesse de leur bienfaiteur de répondre à leurs besoins matériels. « La formation intégrale de la jeunesse d’aujourd’hui passe nécessairement par le numérique et l’intelligence artificielle », a-t-il ajouté.
Les notables du Sud-Kivu, les représentants de l’Église protestante, ainsi que les enseignants et élèves, ont tous salué les efforts d’Aimé Boji, qui consacre une partie de ses revenus à l’amélioration sociale et intellectuelle de la jeunesse congolaise.
Cette initiative, qui soulage le calvaire de centaines d’enfants du Sud-Kivu, marque un pas décisif vers un avenir meilleur pour les générations futures, en offrant un cadre d’apprentissage sécurisé et moderne.
Jules Ntambwe
